Soutien à l'allaitement du partenaire – Soutien pendant le sevrage

Quand elle avait environ quatorze mois, j'ai pris la décision de sevrer progressivement ma fille. La principale raison de ce déménagement est que mon mari et moi avons toujours voulu au moins deux enfants, d'âge relativement proche. Ici, nous étions avec un enfant d'un an et je n'avais pas encore eu mes règles! Après beaucoup de recherches sur Google et de discussions avec mon médecin, il semblait nécessaire de réduire l'allaitement. Cela n'a pas été une décision facile. Cela s'accompagnait d'une grande dose de culpabilité de maman et cela nécessitait une implication majeure du mari. 

J'ai passé quelques semaines à déverrouiller progressivement avant qu'elle ne s'endorme complètement, puis est venue la nuit sans allaitement au coucher. Il se trouve que c'était le jour de la fête des mères. C'est moi qui ai mis mon bébé au lit pendant plus d'un an. Je l'ai soignée pour dormir chaque nuit. Lorsque mon mari et moi avons approché le sevrage, l'heure du coucher était ma plus grande préoccupation. Il a relevé le défi avec compassion et enthousiasme. Il m'a fait asseoir et m'a dit de sortir de la maison ! Eh bien, il a dit qu'il sentait que notre fille accepterait qu'il la mette au lit plus facilement si je n'étais pas présent. Il m'a envoyé au cinéma avec un ami et a promis de m'envoyer un SMS comment ça s'était passé.

Au cours des jours suivants, il a doucement établi une nouvelle routine avec notre fille. Ils ont lu des histoires, chanté quelques chansons et câliné son singe en peluche préféré. Il la mit dans son berceau et resta à ses côtés pendant qu'elle s'endormait. Il y a eu quelques larmes et franchement, c'était plus facile pour moi d'être hors de la maison les premiers soirs (ou ces larmes auraient pu être les miennes). Savoir que mon mari était là pour rassurer et soutenir notre fille pendant cette période a facilité la transition pour toute la famille. Ma fille a si bien réagi à cette nouvelle routine. J'étais presque insulté qu'elle ne manque pas d'allaiter !

Ce n'était pas aussi simple que mon mari faisant la routine du coucher. Il m'a soutenu émotionnellement. Il a compris à quel point l'allaitement était important pour moi et notre fille.

Il semble que réduire a fait l'affaire. J'attends notre deuxième enfant au début de l'année prochaine :)